« Les artistes ne sortent pas assez pour rencontrer le public,
mais je suis curieuse et je veux briser le mur. »
La photographe Dina Goldstein expose son oeuvre pour la première fois dans un lieu public.
J-1 avant l’exposition, Dina supervise la mise en place de son travail.
Au complexe Guy-Favreau de Montréal à l’occasion du festival Art Souterrain 2016.
C’est l’effervescence.
« Je suis ici de façon anonyme, j’aime observer les réactions du public. »
« Les gens sont spontanés car ils ne savent pas qui je suis. Mais, ensuite, ils deviennent curieux. »
« Avec God of Suburbia, je détourne les personnages de la foi populaire
pour les insérer dans notre vie quotidienne, notre modernité. »
« Jusqu’à maintenant, je n’exposais que dans des galeries, toutefois, c’est intéressant de le faire dans un lieu public.
La symbolique est plus forte dans cet environnement. »
Qu’en est-il du thème de l’exposition.
Pour Dina, l’art doit séduire afin de saisir l’attention et délivrer son message.